Un petit florilège des fausses Komandirskie.
D’abord une imitation chinoise massivement produite au milieu des années ’90, avec un fond imitant celui des Komandirskie et un mécanisme chinois.
La version « avion » avec ce qui ressemble à un Vought F7 Cutlass.


La version « soldat » (armé d’un M-16!):



Et la version « parachutiste » de cette même série:



Un faux à l’exposant: ces fausses komandirskie chinoises servant de base à une fausse Seiko 5, pardon, une authentique Sedko 5 (et on ajoute des aiguilles fantaisies parce que « pourquoi pas? »):

Ici seul le cadran est chinois, le reste est authentique:

Encore deux cadrans fantaisie (mais qui brillent dans la nuit):


Un faux soigné, avec emballage et passeport:



le mécanisme (chinois):

Le cadran chinois sur un ensemble boitier/mécanisme soviétique:

Un faux pas soigné du tout:

Quand les vendeurs enlèvent le cadran des Komandirskie et les vendant comme modèle original « skeleton » :


Un peu de travail manuel:

Une radio room faite de bric et de broc:

La société Eaglemoss avait produite une collection d’hommage aux montres militaires, dont un hommage à la Komandirskie – jusque là pas de problème. Mais quand les vendeurs sur le net se mettent à les présenter comme originales et authentiques… :


Des franken, des franken, encore des franken…
Ici avec cadran chinois:


Avec une trotteuse Breitling s’il vous plaît:

Des franken un peu particulières: quand oin place un ensemble calibre-cadran à couronne à 3H dans un boitier à couronne à 2H (et photographiée par le travers pour masquer l’anomalie…):



Encore des chinoiseries:



Une série de fausses Komandirskie « Tchistopol »:



Dans un boîtier de Slava:

(le boitier vient de cette Slava:)

Les cadrans flamanbant neufs sont d’ailleurs en vente sur le net:

Franken en tout genre….



Le boîtier et le mécanisme sont bien soviétiques… mais pas d’une Komandirskie:

Parce que c’est l’étoile rouge qui fait la Komandirskie:

– Combien voulez-vous de symboles sur votre cadran?
– Oui
